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12 février 2008
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Quelques détails techniques pour les curieux :
La théière a donc été "montée" à l'aide de "colombins", boudins de terre superposés et liés entre eux par de la barbotine qui fait office de colle. Le travail de lissage est très important ! La difficulté seconde est de "donner" la forme. Je fais remarquer le style très créatif de cette pièce. Martine avait choisi un modèle dont elle s'est, avec bonheur, éloignée. La mise en couleurs a été faite à partir de couleurs céramiques synthétiques ; le tout est recouvert d'une glaçure transparente et cuit à 1246°. Le décor végétal, un peu flou ici, est fait de petites pièces en forme de feuilles, tiges et fleurs modelées à part et collées sur la théière une fois celle-ci entièrement montée, après la pose du bec et de l'anse.
photo ci-dessus : détail du disque sur lequel Martine a passé un oxyde de cuivre dilué à l'eau et recouvert d'une glaçure transparente, le tout étant cuit à 1246 °.
La théière a donc été "montée" à l'aide de "colombins", boudins de terre superposés et liés entre eux par de la barbotine qui fait office de colle. Le travail de lissage est très important ! La difficulté seconde est de "donner" la forme. Je fais remarquer le style très créatif de cette pièce. Martine avait choisi un modèle dont elle s'est, avec bonheur, éloignée. La mise en couleurs a été faite à partir de couleurs céramiques synthétiques ; le tout est recouvert d'une glaçure transparente et cuit à 1246°. Le décor végétal, un peu flou ici, est fait de petites pièces en forme de feuilles, tiges et fleurs modelées à part et collées sur la théière une fois celle-ci entièrement montée, après la pose du bec et de l'anse.
photo ci-dessus : détail du disque sur lequel Martine a passé un oxyde de cuivre dilué à l'eau et recouvert d'une glaçure transparente, le tout étant cuit à 1246 °.
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